Découvrez comment optimiser votre rendement locatif grâce au déficit foncier et aux aides à la rénovation énergétique.
Les travaux de rénovation énergétique constituent un levier puissant pour améliorer la rentabilité de votre investissement locatif.
Lorsque vos charges sont supérieures à vos revenus locatifs, vous générez un déficit foncier qui peut être déduit de votre revenu global, dans la limite de 10 700 € par an. Cette limite est provisoirement portée à 21 400 € jusqu’au 31 décembre 2025 pour les travaux de rénovation énergétique permettant de passer d’une classe E, F ou G à une classe A à D【397862956937635†L60-L101】.
De nombreuses aides (MaPrimeRénov', CEE, éco‑PTZ…) peuvent venir financer une partie des travaux de rénovation énergétique. Ces dispositifs réduisent considérablement le coût global de votre projet et améliorent votre retour sur investissement.
En cumulant déficit foncier, aides et hausse de la valeur locative d’un bien rénové, votre rendement net-net peut augmenter de 1 à 2,5 points par rapport à l’achat d’un bien déjà rénové.
Illustration simplifiée d’un investissement dans une passoire thermique avec QanaQ.
Vous achetez un appartement classé F à 150 000 € et réalisez 50 000 € de travaux de rénovation énergétique. Les travaux bénéficient d’aides et génèrent un déficit foncier déductible.
Une fois rénové, le bien est classé C : la valeur locative augmente, vos charges diminuent et vous bénéficiez d’une fiscalité avantageuse. Le rendement net passe de 3 % à 4,5 %, tout en réduisant votre empreinte carbone.